Dans cet atelier qui s’inscrit dans le cadre du projet presse libre professionnelle, inclusive et plurielle pour l’accès des différentes couches sociales à l’information fiable au Nord et Sud-Kivu.
Ces femmes des médias ont été sensibilisées sur les 16 formes des violences sexuelles particulièrement harcèlement sexuel que stipule le Code de la famille à son article.
La facilitatrice de l’atelier, Georgette Nkunzi démontre la SEXTORSION (Corruption du sexe) comme une infraction contre le code de famille à ne pas confondre avec le harcèlement sexuel moins encore l’attentat à la pudeur ni aux mœurs.
« La sextorsion n’est pas prévue par la loi, la corruption est prévue par la loi mais la corruption sexuelle n’est pas prévue. La crainte est que la femme ne peut se plaindre parce qu’aucun jugement ne peut être prononcé vu que cela ne figure pas dans la loi », a fustigé Georgette Nkunzi, chargée des recherches et du genre au sein de l’Association des Femmes des Médias AFEM.
Signalons que c’est dans le cadre du projet presse libre, professionnelle, inclusive et plurielle pour l’accès de différentes couches sociales à l’information fiable au Nord et Sud-Kivu en partenariat avec l’ambassade de l’Allemagne.
Promesse Kakuru